Alors que j’étais encore un adolescent, en 1946, j’allais signer mon nom de l’autre côté‚ du ciel durant un fantastique voyage réalistico-imaginaire ". Ce jour-là, alors que j’étais étendu sur la plage de Nice, je me mis à éprouver de la haine pour les oiseaux qui volaient de-ci, de-là, dans mon beau ciel bleu sans nuage, parce qu’ils essayaient de faire des trous dans la plus belle et la plus grande de mes œuvres.